8è essai

   Pour dynamiser davantage mes réalisations, j'ai choisi d'y ajouter de la couleur.

J'ai voulu accentuer les droites et les formes par différents tons d'une couleur, d'une teinte.

J'ai ainsi repris quelques hexagones où j'ai seulement représenté leurs contours en couleur (et aussi en noir et blanc). J'ai aussi repris certaines droites que j'ai coloré ou bien superposé sur d'autre déjà présentent. J'ai fini par casser le vide de mes premiers essais en laissant les droites supplémentaires apparaitre.

   Cependant, il y a que très peu de variations de couleurs des ces essais. Malgré un graphisme qui me plait, qui se rythme d'avantage grâce aux couleurs qui interviennent, les nombreuses droites qui apparaissent dans le vide (le blanc) et la transparence du fond des formes.

J'ai alors, continué dans ce principe en remplaçant, principalement, tous les noirs et blancs par des couleurs.

J'ai ainsi joué avec les différentes teintes d'une couleur (comme le rouge par exemple), puis avec une palette de couleur très proches de ces dernières; pour faire ressentir une impression de dégradé. J'ai aussi placé des couleurs plus vives à certains endroits pour égayer l'image créée et la faire ressortir, la dynamiser; tout en utilisant encore le vide et le plein, par l'apparition de quelques blancs dans les travaux.

 

7è essai

   Après avoir bien regardé mon travail, je me suis rendue compte que je n'y avait apporté aucunes informations que ce soit pour le lieu mais aussi les dates, le nom et le titre.

De plus, ce gabarit étant censé être un dépliant; avec l'affiche que j'ai réalisé précédemment il n'était pas possible de le plier, du moins cela coupe la lecture de cette dernière, ce qui n'a pas d’intérêt.

J'ai donc revue mon travail.

J'ai gardé la même image dans mon recto car je trouve qu'elle fonctionne bien au niveau du rythme donné par le noir et le blanc, les formes et les droites.

J'y ai tout de même ajouté mon nom, le titre de mon travail, une date d'exposition, le lieu, le nom de mon blog, la date de vernissage. Je me suis aperçu que le logo, anciennement placé, nuisait beaucoup à l'image, il ne fonctionnait pas du tout avec cette dernière et était un peu trop gros. L'ayant mis en grand au verso, j'ai préféré le mettre en bas de la page pour qu'il s'intègre plus facilement et qu'il ne nuise pas à l'image.

Pour le verso, j'ai surtout du reprendre toutes les mesures pour que lorsqu'on plie l'affiche il n'y ait pas de coupures et qu'ainsi la lecture puisse ce faire sur chaque phase du dépliage.

J'ai là encore remis les informations générales citées précédemment. J'ai finalement joué encore une fois avec le vide en placant le logo sur le coté de la page.

J'ai surtout diminué la présentation de mes travaux (en effet, sur le premier prototype, j'avais dupliqué mon texte) et j'y ai ajouté un texte expliquant mon choix pour ce logo.

Dans la dernière partie du dépliant j'ai ajouté des images pour accompagner mes extraits du blog, pour ainsi mieux comprendre les références et voir de quoi il s'agit directement.

Je suis donc partie sur un dépliant en 3 fois au lieu de 4 sur l'affiche de base.

Rick Flowerday

   Cet artiste dispose d'un rapport au mur, mais un rapport bio: il exploite le cadre, un cadre très géométrique.
Il est adapté pour les usines où est planté de la vigne et celle-ci peut suivre le rythme de la structure créée.
Cette structure me rappelle vaguement les formes que j'ai utilisé pendant le second semestre en graphisme. Je ressens l'hexagone alors qu'il utilise le cercle, rond; le relief créé une superposition et donc rappelle vaguement les hexagones. J'aime vraiment son approche.

A partir d'une trame circulaire, la superposition de celle-ci, transforme la trame, lui donne une autre vision: une forme plus abstraite. Elle dynamise le lieu et permet d'accompagner les plantes, de ne pas y nuire, de pouvoir faire qu'elles se développent et ainsi de voir comment ces dernières utilisent la structure.

Esther Stocker

   Née en 1974, elle se consacre à plusieurs domaines dont les installations. 
J'ai apprécié, sur son travail, ses installations, car il y a une relation à l'espace; elle le transforme, lui donne une autre définition. Elle travaille principalement à partir de lignes et de formes (vides ou pleines). On ressent dans ses œuvres une impression de destruction, de désintégration, de projection, d'infini...
Le blanc et le noir, sans intervention de couleurs, montre cette atmosphère.
Parfois, cela ressemble à un espace entièrement futuriste où plusieurs formes rappellent de nombreux éléments tactiles, on croirait à une fiction.

La trame créée permet donc une tout autre perception de l'espace et nous laisse libre quant à l'interprétation de celle-ci. Elle dynamise l'espace.

    En plus de ses installations, elle fait également des peintures, de la photographie, des vidéos ...
Son travail est principalement basé sur le même principe que ses travaux vus précédemment; créant ainsi une accumulation de motifs dans son/ ses œuvres, ou des illusions optiques.

6è essai

   On a étudié le gabarit, sa mise en place, pour en faire un dépliant exposant, présentant, une exposition de nos travaux; avec le choix d'un logo.

Ce travail a été très intéressant car on s'aperçoit que dans un gabarit il y a plusieurs possibilités de mises en pages.

J'ai voulu m'inspirer de l'affiche du Museum Tinguely en déviant légèrement le gabarit de base.

Cela m'a permis de comprendre certains points qu'on ne visualise pas toujours à la vue de différentes affiches; comme, par exemple, des mesures très précises, et parfois égales selon où elles se trouvent.

Il a donc fallut penser à une organisation assez pertinente, qui attire l’œil, qui n’ennuie pas le lecteur, et ajouter de la couleur, comprendre comment celles-ci peuvent s'intégrer, se fonder, dans le reste de l'affiche et avec tous les éléments qui la constitue.

Pour le recto de l'affiche, j'ai choisi de reprendre la suite de mon travail: le jeu du noir et du blanc, du plein et du vide, que j'ai créé avec des hexagones et des droites, tout en y intégrant le logo.

Puis pour le verso, j'ai globalement repris les mêmes axes du gabarits de bases, j'ai seulement, légèrement, changé la taille de ces axes, ou plus précisément leurs formes. 

A la place des deux logos représentés en haut de l'affiche, j'ai choisi de mettre le logo en haut de la page, centré, en grand.

J'ai repris le principe de mettre quelques images juste en dessous du logo, où je présente globalement la progression de mon travail.

J'ai, ensuite, expliqué, la démarche de mon travail, ce que cela m'a apporté, ce que cela m'a permis de développer. Cependant, j'ai réparti mes explications dans 4 colonnes (au lieu de 6 sur l'affiche) dont 2 qui descendent jusqu'en bas de la page. En dessous des deux autres colonnes, j'ai placé des extraits de mon blog, en particulier les artistes qui m'inspirent et qui représentent le plus mon travail.

Le design graphique, Alain Weill

   Dans cette lecture j'ai apprécié le travail de Tschishold notamment pour le rythme donné à ses affiches avec l'introduction d'images et ainsi la façon dont il arrive à lier ces dernières à ses éléments graphiques. En effet je recherche cette dynamique dans mon travail tout en y mettant peu de couleurs. Je recherche la création de formes et cet artiste représente assez ce que je veux. 

  

 

Tout comme Saïto qui joue avec les formes et les couleurs (souvent primaires) et qui dynamisent ces affiches à partir de photographies qu'il transforme, il leurs donne un autre aspect, parfois plus coloré, c'est comme s'il racontait une histoire dans son travail, ce que j'apprécie et trouve vraiment agréables comme concept.

Néanmoins certains ne m'ont pas vraiment interpellé.

Mucha par exemple, qui surcharge ses affiches de motifs dans un style de l'art nouveau, s'éloigne particulièrement de mes intérêts, de mes intentions et de mes recherches. Les ornementations de l'art nouveau m'intéressent pour la question du rythme mais la surcharge d'éléments graphiques ainsi que les personnages représentés comme le fait cet artiste ne m'inspirent pas vraiment. 

 

De plus Raymond Savignac, malgré son graphisme assez humoristique, ne m'intéresse pas dans sa façon de faire, dans sa réalisation, dans son but.

Je cherche beaucoup plus la mise en page, la recherche dans l'espace qui nous est offert, les formes, les dynamiques possibles, le vide, le plein...

   Ce livre est idéal pour comprendre l'histoire du graphisme et connaître les principaux créateurs et mouvements essentiels. Néanmoins je trouve celui-ci peu pratique, si je peux dire, par sa présentation.

D'une part visuelle, les notes sur les différents artistes présentés se confondent presque avec le texte. En effet, certes écrient en plus petit caractère, elles restent juste à coté et la lecture des ses dernières, malgré qu'elles soient intéressantes, est pas « facile » : on ne sait pas vraiment à quel moment les lire pour qu'elles coordonnent avec le texte. Je trouve la présentation un peu « brouillon » avec les images, même si celles-ci restent pour moi importantes pour avoir une idée de ce que fait tel artiste. Des images plus petites, plus grandes, placées dans les notes, en plein milieu du texte sans aucunes indications...

D'autre part dans le contenu, il y a un grand nombre d'artistes énuméré dans ce livre et peut-être un peu trop : parfois plusieurs lignes ; car si on ne s'y connaît pas très bien en graphisme, et donc dans son histoire, il est difficile de suivre, de bien comprendre le texte, cela coupe un peu la lecture. Cela a tout de même un avantage car nous pouvons découvrir un maximum de graphistes importants, clés, et aller voir leurs travaux.

Cela reste un bouquin convenable, pratique dans son format, assez bien expliqué, pour avoir un minimum de bases et de connaissances en la matière.

Chaque périodes, mouvements, tournants, moments importants sont expliqués clairement avec beaucoup d'exemples de créateurs pour avoir un maximum de références, même si toutes ne peuvent être dites bien évidemment. Les notes, sur le coté des pages, nous permet d'avoir quelque renseignements supplémentaires qui peuvent nous être utile et le texte accompagné d'images rend la lecture un peu plus dynamique puisqu'elles nous réfèrent, nous donne un aperçu de ce qu'il se fait, se créer et se développe ; comme l'apparition de la photographie et du photomontage dans le milieu du graphisme, par exemple.

   Un livre: Les fondamentaux de la création graphique est aussi très intéressant et enrichissant car il explique et partage les notions essentielles, de bases, du graphisme, soit tout ce qui s'y rattache. Il met en avant beaucoup de concept que se soit sur des sites web, des affiches... avec de nombreux éléments tel que la couleur, le format, la police...

Un bouquin pratique qui renseigne et peu inspirer plusieurs d'entre nous.

 

 

Le petit manuel du graphisme (le guide) est aussi un ouvrage assez bien puisqu'il présente le graphisme mais aussi tous ses nouveaux domaines comme la smartphone et autre. Il prend en compte les évolutions qu'il y a et donne des astuces, des conseils, des renseignements.

Il y a aussi Connaissances et techniques qui est un livre présente le graphisme et qui aide pour différentes réalisations, créations; astuces, conseils...

"De l’histoire des grands mouvements du graphisme jusqu’aux formats de papier utilisés, en passant par les méthodes de génération d’idées, les notions clés comme la grille, ou les étapes du processus de design, l’ouvrage ne laisse aucun élément indispensable de côté."

De plus dans ce bouquin autant se trouve des exemples de professionnels que d'étudiants; il est très structuré dans sa présentation.